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Qu’est-ce que le questionnement ?
C’est une bonne question.
Qu’est-ce qu’une bonne question ?

L’exercice est infini.
Déconstruire le comment de son fonctionnement c’est aborder son savoir sans savoir comment il fonctionne.

PHILOMATHIA (φιλομαθία) : « amour de la connaissance »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Philosophie

Mon bagage philosophique n’est en rien académique et teinté d’études exhaustives des courants majeurs/mineurs, d’auteurs vedettes, contemporains ou antiques. Il découle de plusieurs années de réflexions et constats empiriques.

Lorsque j’ai lu l’Apologie de Socrate

je me souviens avoir instinctivement comprit à quelle finalité (compréhension subjective) la démarche maïeutique menait  :
savoir que l’on croit savoir (des choses) et découvrir que l’on ignorait que l’on savait (d’autres choses).

Je m’étonne encore d’observer avec quelle intensité l’esprit et la raison façonnent ma compréhension et sont capables d’édifier mon savoir.

 

Selon moi, la philosophie n’est pas :

  • donner un sens à un questionnement intérieur (Pourquoi la vie ? Pourquoi la mort ? Pourquoi le grille-pain est-il fait pour griller le pain ?).
  • tenter d’expliquer le fonctionnement de la logique, de la raison ou tout autres éléments étant capable de construire un savoir portant sur la mécanique de son esprit.
  • engendrer des envies et passions au travers d’une accumulation de connaissances (de soi ou de la « réalité »).
  • tendre vers un état supérieur au travers d’une quête sacrée.

En revanche, je ne sais pas ce qu’est la philosophie.
Lorsque je tente d’être en « philo-sophie » (amour de la sagesse), j’en arrive toujours à utiliser un seul et unique outil : la question.

Pour résumer : lorsqu’une réponse se profil dans un raisonnement, elle doit m’être remplacée par une question.

Savoir que l’on croit savoir
Par exemple : Le ciel existe (sans avoir possibilité de regarder maintenant par la fenêtre).

  • Comment sais-je que le ciel existe ?
    Je le sais, c’est tout.
  • Depuis quand le sais-je ?
    Je ne sais pas.
  • D’où me vient ce savoir ?
    Ma mémoire.
  • De quelle provenance extérieur ?
    Sûrement un professeur à l’école, un livre ou mes parents.
  • Ai-je besoin de valider mon savoir par un de mes sens en regardant par la fenêtre, pour constater le ciel présent ?
    Non, car je le sais sans cela.
  • Suis-je convaincu que mon savoir est correct ?
    Oui. Même si je ne saurais dire dans l’immédiat comment,pourquoi.
  • Que veut dire le mot « ciel » ?
    Cela désigne ce qui se trouve en l’air, qui n’est pas sur terre. (Il me faudrait un dictionnaire)
  • À partir de quel point, quelle limite, désigne-t-on le « sur terre » de « dans le ciel » ?
    Euh…je ne sais pas. Une limite, une hauteur en kilomètre ? Une densité en dioxyde de carbone ?
  • Qu’entend-on par « existe » ?
    …sans le ciel, il n’y aurait pas de protection contre les rayons du soleil. Non ? Pas de stock d’oxygène ? Le ciel n’est pas une entité propre, mais c’est le terme qui regroupe un ensemble de choses.
  • Quelles choses ?
    Euh….c’est trop long à énumérer !

Il n’est pas souhaité donner une réponse juste en se prouvant par une science ou un raisonnement logique que « le ciel existe », il est question ici de découvrir la consistance de son savoir.

Questionner, cela peut-être :

  • se rendre compte que notre savoir repose sur d’autres savoir et ainsi de suite.
  • aller farfouiller dans les abysses de ses croyances.
  • transposer le doute (peur) en doute (force).
 
Découvrir que l’on ignorait que l’on savait
En apparente opposition avec la démarche qui consiste à déconstruire son savoir, il est une connaissance qui apporte des explications : l’ignorance.

Dans la démarche philosophique que j’ai entrepris au fil du temps, j’ai comprit :
– qu’être dans un état spécifique (une disposition particulière de l’esprit) amène des découvertes différentes, selon la nature de cet état.
– qu’il se pouvait que déconstruire son savoir mène à une sensation étrange : se sentir vide, bête, creux.

Par exemple : respirer.
Je ne me pose jamais la question : sais-je respirer ? C’est un réflexe que j’ai depuis ma naissance.
Il m’est impossible de dire : j’ignore que je respire. Car je ressens ma respiration lorsque je cours plus vite que d’habitude, que j’avale de travers ou que j’ai un méchant rhume.

Questionner mon savoir permet de mettre en focalisation des savoirs subtiles, propre à ceux contenus dans mes réflexes quotidiens.

Respirer : je sais le faire. Je sais aussi que je n’en ai pas conscience (la plupart du temps).
Je sais donc quelque chose maintenant : c’est que je sais ne pas avoir conscience de savoir respirer.

Un état spécifique dont je parlais plus haut : être disposé à découvrir (des choses). Cela me permet de mettre le doigt sur un élément précis lors de la déconstruction de mon savoir, et d’en tirer un « nouveau » savoir : j’ignorais que je savais.

Ma connaissance de ce qu’est le Yin & Yang est très mince. J’ai en tête les principes homme / femme et soleil / lune, ainsi qu’un vague savoir sur son importance et son application dans diverses cultures.

Ce que mon esprit en a synthétisé semble simplement être des compréhensions paisibles. Plus précisément :

  • d’un point de vue logique : la complémentarité est une notion plaisante et satisfaisante, qu’il me plait de voir dès que j’en ai l’occasion, car rassurante de combler une lacune en y associant un savoir (parfois quelconque).
  • d’un point de vue sensoriel : la synergie d’un sens (récepteur de message) avec son outil de décryptage (l’esprit), me donne de la « matière » empirique, qui me permet de me remémorer (notion de souvenir) et d’en revivre une esquisse comme si cela se produisant dans l’instant.
  • d’un point de vue spirituel : le tout est une concaténation, comme un aller / retour, vide / plein, etc. Comme ma respiration est à la foi une entrée et une sortie d’air, mais également le tout de ce mécanisme.

L’image d’une balance (celle tenant en équilibre lorsque des masses sont répartit également sur ses deux socles, comme celle de  la justice) ne me paraît pas pertinente, car il y manque ce que j’estime une clef importante dans la compréhension de cette notion de Yin & Yang : les parties inclusives l’une de l’autre.

La part Yin se trouvant dans Yang (et réciproquement), amorce en moi des questionnements très singuliers : 

Sais-je différencier, dans ma réalité, une « chose A » d’une « chose B » ?
(exemple 1 : A est la chaussette, B est le pied)
(exemple 2 : A est le corps, B est l’esprit)
Même s’il m’est facile de discerner la différence entre la chaussette et le pied, dans la théorie (idée mentale) autant que dans la pratique (réalité subjective tangible), cela est plus difficile en ce qui concerne le corps et l’esprit : où commence l’un et où finit l’autre ? Des définitions peuvent m’aider, mais ma perception de leur différence réelle reste vague.

La chaussette sans le pied est juste la chaussette. Avec le pied dedans, est-elle encore la chaussette ? Mon mental ne me dis pas que les deux sont mélangés mais simplement très proche
Leur contact fait-il d’eux deux choses inséparables ? Ma logique me dit que non. Mon savoir en physique (sur les atomes, les molécules, etc.) ne me permet pas de comprendre ce que la notion de « toucher » implique dans la définition de ce domaine. Mais je peux me dire que le pied est dans la chaussette, que la chaussette est autour du pied et qu’ils se touchent. 
Si je ne sais pas à quel moment précis je peux me dire que mon esprit n’est pas mon corps (et réciproquement). Je devrais peut être trouver un nouveau terme pour ce tout.

Si je les différencie, puis-je entrevoir, cette « chose A » qui ne contiendrait pas un peu de « chose B » ?
Lorsque je retire mon pied de la chaussette, reste-t-il du pied dans cette dernière ? Je pourrais penser que oui, si des poils, des petits bout de peaux seraient pour moi une partie du pied. Pourtant, ces éléments du pieds, sont-il le pied ? Je considère que non. Le pied est un tout, englobant entres autres ces petits morceaux, tous assemblés les uns aux autres. Le terme pied représente donc un ensemble de choses. Mais finalement, si je porte une chaussette et que je veux désigner à quelqu’un que j’ai mal au membre en bas de ma jambe, je vais bien parler de « pied », en faisant abstraction de la chaussette.
Pour le corps et l’esprit, ne sachant pas comment les délimiter, comment savoir donc en terme de quantité (taille, volume, poids, etc.), lequel contient un peubeaucoup ou est l’équivalent de l’autre ? 

Serais-je en mesure de déconstruire suffisamment de « A » pour être persuader que « B » n’y est pas ?
Lorsque je focalise ma compréhension sur les notions de « toucher » et de « tout », je me rends bien compte que les mots me permettent d’approfondir mes recherchent mentales, car ils sont l’essence même de la capacité de « classification » de l’esprit.
Mon approche pour explorer la question (ci-dessus), peut-être de me baser sur le domaine d’une science, comme par exemple la physique, pour tenter de m’expliquer le rapport entre « pied n’est pas chaussette », « pied contient un peu de chaussette » (et réciproquement).
Si l’approche était plus raisonnable, je me dirais que, part soucis de clarté de communication (par exemple lors d’une discussion avec quelqu’un), je préfèrais ne pas penser que tout est mélangé (dans le cadre de l’exemple A). En revanche pour l’exemple B, mon questionnement est clairement de ne pas chercher à rendre plus claire ou plus facile ma compréhension de ces notions, car cela dans mon cas personnel, c’est justement ces flous dans mes connaissances qui m’intéressent.

Mon savoir étant mis en déroute par ces questionnements, le Yin & Yang est alors pour moi un point de vue particulier sur les interprétations je peux avoir.
Comme tout nouveau point de vue , il me faut :

  • me projeter dans un contexte qui n’est pas d’ordinaire le mien
  • en espérant avoir la faculté d’intégrer une vision aux paramètres plus ou moins inconnus
  • être capable d’observer mon regard initial (mon premier point de vue)
  • et être suffisamment attentif pour mettre en exergue les différences entre ces deux positions

Lorsque je souhaite comprendre une chose X (ou que cela se faite de manière automatique, car il s’agit d’une mécanique normale de l’esprit que d’observer par un point de vue personnel, satisfaisant et confortable), je peux me demander jusqu’à quel point mon mental tente de diviser, pour avoir une plus clair compréhension de X.

Comprendre X en le décortiquant, c’est cela l’exploration relationnelle.

Comprendre X en l’interprétant selon un point de vue Yin & Yang est, selon ma compréhension, l’affaire de considérer X comme n’étant jamais totalement différent, dissocié ou autre.

L’autre jour, il pleuvait.
J’ai remarqué que la plupart d’entre nous, qui n’ont pas de parapluie, haussons les épaules et fronçons les sourcils.

(© BrianAJackson — Getty Images/iStockphoto)

 

Puis, me vint un moment de questionnement :

« Suis-je obligé d’avoir ces réflexes ? »
Évidemment, je commence à réfléchir pour répondre par oui / non à cette question fermée. Et mise à part le fait que la réponse m’intéresse réellement (être obligé), je me dis : « tiens, j’utilise le mot obligé dans ma formulation»…cela devient hautement intéressant !

Je m’empresse alors de faire de l’exploration relationnelle :
– Continuer à poser des questions ouvertes(si possible, plutôt que fermées)
– Questionner plutôt que répondre.
– Requestionner s’il y a réponse
– Focaliser le questionnement sur les liens qu’il y a dans les idées, les pensées
– Garder à l’esprit que le « Savoir se déconstruit manuellement et que c’est automatiquement qu’il tend à se construire »

C’est partit.

Le fait qu’il pleuve (et que je sois dans un comportement d’adaptation / une réaction conditionnée : hausser + froncer) est associé, dans mes pensées, à une obligation. Mon premier réflexe mentale est de poser une interrogation avec cette formulation. Je me permets donc une nouvelle question : pourquoi ne pas dire « faut-il ? ».

À ce moment là, bien évidemment, je réalise que pour répondre à cette question je reviendrais directement en arrière et me retrouverais piégé par mon processus mental, car ma nouvelle question sera : « Faut-il avoir ces réflexes ? » et c’est à nouveau une question fermée.

Mmm…je n’ai que peu avancé dans mon questionnement sur le « comment se fait-il que j’utilise ce terme obligé et comment celui-ci est-il fonctionnel dans mon esprit ? ». Donc, demi-tour.

Obligé, c’est ce terme que j’ai utilisé… Eh mais attends ! Dans ma démarche, j’ai remplacé obligé par faut pour formuler une nouvelle question… c’est donc que là que je dois creuser : le lien entre ces deux termes !

Après quelques secondes introspectives, je me rends compte que les définitions que j’ai de ces deux mots sont floues :

  • je m’explique le terme obligé par une notion de devoir. Dans le contexte de cette situation, j’ai l’impression que je fais une allusion à un code moral ou des mœurs à respecter car c’est ainsi, puisque : tout le monde le fait -> je fais partit de tout le monde -> donc je le fais
    (en formulation rhétorique cela s’appelle la transitivité)
    L’exploration relationnelle de ma première question semble préciser que j’ai pensé en premier lieu à un rapport entre les autres et moi.
  • je m’explique le terme faut comme s’il s’agit d’une succession d’événements qui provoquent, sans en avoir conscience, une réaction à un stimulus.
    C’est comme si je devais laisser faire mon corps et mon esprit, qui « comprennent » qu’il pleut et qui agissent donc en conséquence : hausser les épaules + froncer les sourcils.
    L’exploration relationnelle de ma deuxième question me fait voir que je n’accorde que peu d’importance au pourquoi il y a réaction (hausser les épaules pour : garder de la chaleur corporelle ? ; amoindrir la surface en contact avec les gouttes ? ; etc.).

Je cherche à comprendre, par la le questionnement, le comment se formulent mes pensées. Pour dire autrement : être capable d’observer ses facultés mentales opérationnelles.

Ce qu’il y a de sûr, c’est qu’aucune finalité vient clore mon questionnement. Il s’agit d’une observation, et c’est précisément cette capacité de constatation qui est entraînée par les réflexions.

Maintenant, quand il pleut, j’examine clairement et plus facilement mon comportement à réagir et s’adapter à une situation.

Le questionnement fait entrevoir autrement ce qui peut être déjà établi.

Au fil du temps, à force de vouloir mettre en question tout ce que je pouvais avoir à l’esprit, je me suis rendu compte qu’il y avait trois domaines dans lesquels se regroupaient mes réflexions :
1. Les fonctionnements de la pensée
2. Un questionnement sur les idées et notions qui entourent le terme « lien »
3. Les perceptions de ce qui est « à l’extérieur »

Par exemple :
Si je pense à une chaise, je peux avoir à l’esprit sa dénomination (le mot chaise ou le nom du modèle), son image (la couleur, la forme), faire intervenir le sens du toucher, du goût, voir même du son. Je peux puiser dans un souvenir ou être créatif et la modéliser à loisir.

(Il est d’ailleurs très probable que vous ayez eu à l’esprit une chaise précise durant cet énoncé et que vous puissiez la décrire facilement.)

Je pourrais poser plusieurs réflexions et interrogations au sujet de cette chaise. Maintenant, je vais tenter de « comprendre » la chaise au travers des trois domaines évoqués ci-dessus :

1. Les fonctionnements de la pensée
Ma pensée est en activité et me permet de nommer, voir, sentir, etc. tout ce qui à trait au concept que je me fais d’une chaise. Je peux me questionner sur le fonctionnement de ma pensée qui fait que la chaise est pour moi réelle (je la vois, je suis assis dessus, je peux la nommer) ou créée (j’imagine les caractéristiques d’une nouvelle et elle n’est pour l’instant qu’un songe).

Dirais-je que la chaise existe, résonne ou se reflète dans mon esprit ? Existerait-elle si je n’étais pas la pour la voir, la nommer, la penser ? Quelle différence ma pensée fait-elle entre celle que je considère comme « réelle » et celle que je considère comme « créée » ?

Attention, il ne s’agit pas de répondre à ces questions ! La focale est à mettre sur « comment la pensée peut mettre ces questions en lien avec la chaise ».

2. Un questionnement sur les idées et notions qui entourent le terme « lien »
Il semble évident que pour penser à la chaise, il faut donc pouvoir penser à la chaise. C’est justement là que le questionnement acquiert une dimension importante :
– S’il n’y avait pas de chaise dans mon esprit à l’instant où j’y pense, pourrais-je y penser spontanément ?
– Pourrais-je penser à une chaise, si la chaise en elle-même n’avait jamais été inventée ?
– Serais-je capable de reconnaître une chaise si je n’en avais jamais vu, mais qu’elle fut déjà inventée ?
– Quelle représentation aurais-je d’une chaise si celle-ci s’était appelée « table » ?

Dans ce questionnement, s’orienter et structurer son cheminement est difficile car les liens que l’on a s’en trouvent dégrossis et déconstruits.

3. Les perceptions de ce qui est « à l’extérieur »
Si j’écarte mes pensées (domaine 1) et les notions de lien (domaine 2) en ce qui concerne la chaise, il reste là un « truc » qui peut « avoir » et/ou « être ». Je pourrais :
– m’asseoir dessus, pour me reposer.
– y déposer un vase avec des fleurs, pour embellir une pièce.
– l’appeler « amie » et lui raconter des secrets de famille.
– m’en servir comme raquette pour créer un sport.

Quoique je décide de faire de ce « truc », s’il m’est possible de faire abstraction de ce que ma pensée lui attribue comme référence principale (à la base une chaise), je peux alors outrepasser la fonction de cette chaise et ne m’en servir que dans ses propriétés des plus complexes au plus simples : c’est un arrangement de bois, de métal ; c’est de la matière ; c’est quelque chose ; c’est là.

Dans ce domaine, il n’est question que d’audace pour braver la pensée et la structure que celle-ci a mise en place pour faire des liens avec tout ce qui crée pour nous : un monde, une réalité.

Déconstruire un savoir a été l’une des mes principales occupations ces deux dernières décennies. Mes observations et introspections m’ont mené à nommer cette triade d’éléments :
1. La culture Gentillesse

2. L’exploration relationnelle

3. Les magiciens d’ose!

 

Le terme Exploration Relationnelle exprime le procédé de réflexion utilisé pour questionner dans chacun de ces 3 domaines.
L’exercice consistant à utiliser l’ER (outils) pour comprendre l’ER (concept) est infini, paradoxal, et donc profondément riche.

J’ai le sentiment que ce qui est important à mettre en exergue, lorsque l’on souhaite comprendre quelque chose, ne sont pas les images, les mots, les fonctions d’un sujet ou bien les pensées qui y sont attachées, mais un subtile et impalpable élément qui unit tout ce à quoi notre esprit tend : le lien.

Explorer des idées. Faire des liens.

PNL – Programmation neuro-linguistique)
La PNL, où une façon d’entrevoir la communication avec les autres / soi-même.

Synergologie
Communication non verbale et autres détails.

Hypnose
Une définition intéressante : « état modifié de conscience »

www.appropedia.org
Un wiki collaboratif pour des solutions de mieux vivre.

Principe​ du Junzi (wikipédia)
« l’homme noble » ou « gentilhomme », selon Confucius.

www.zetetique.fr
Méthode de recherche fondée sur le doute et la vérification des informations.

Livre des cinq anneaux (wikipédia)
Introspection d’un guerrier japonais sur son parcours de vie.

Tchouang-tseu (wikipédia)
Taoïste. « Tchouang-tseu rêve-t-il d’être un papillon ou le papillon rêve-t-il d’être Tchouang-tseu. »

Éthique de réciprocité (wikipédia)
« Traite les autres comme tu voudrais être traité. »

www.akouo.ch
Association d’écoute centrée sur la personne.

L’arbre des Possibles
Projet collaboratif de Bernard Werber : « rechercher ou imaginer les futurs possibles de l’humanité. »